Correspondance en Villégiature
Consigne 1 : Une lettre en moins... (Gniark, gniark ! Je me suis bien amusée, pas vous ?...)
Je récidive en vous proposant Sans les O !
Est-ce que cela sera plus facile ?...
A voir ! A tenter !
C'est assez tordu, ce truc, euh, assez bizarre !
Consigne 2 : c'est plus amusant de corser la chose, euh, de compliquer, enfin je veux dire d'épicer le dernier devoir travail avant les vacances !...
Vous écrivez une lettre à votre frère dès votre arrivée en villégiature dans la villa héritée de vos parents. Villa que vous partagez avec lui chaque été, lui en juillet, vous en août... (là, je ne peux pas enlever les o...)
Lecture lundi.
Après, pause d'été, promis, ah zut ! euh... en vérité !
Cher Frédéric,
Je suis arrivée hier à Laparié, avec Philippe et les enfants.
C'est un grand plaisir de rallier la demeure familiale.
Un instant j'aurais pu m'attendre à ce que papa et maman apparaissent sur le seuil.
J'ai une immense gratitude envers eux, ce petit paradis perpétue leur image et les meilleurs passages de l'enfance auprès d'eux.
Début juillet, quand tu es arrivé, ce devait être la jungle, maintenant, la vue, les parfums, les bruits ressemblent à ceux des heures chéries jadis.
Tu as dû travailler dur mais le résultat est à la hauteur de mes espérances,
rien n'aurait pu me faire plus de plaisir.
Je t'en remercie bien sincèrement.
Les années passent mais les jeux d'antan restent d'actualité, te rappelles-tu ?
Karine et Valérie exécutent déjà des cabanes dans le grand tilleul avant de filer prendre un bain dans la rivière dans laquelle l'eau est indéfiniment claire et fraîche.
Le verger avait pressenti une arrivée en masse et une envie de fruits juteux.
Il en dispense une grande quantité appréciée par les papilles.
Les tartes et marmelades embaument déjà l'air ambiant.
La bâtisse semble revivre et remercier ce réveil qui lui rappelle des temps bénis.
Je suis heureuse de cela, Je suis heureuse d'être là.
C'est si agréable de ressentir une telle félicité.
Je caresse l'idée de résider ici une certain temps, à une date indéterminée
avec ta tribu et la mienne et je me plais à imaginer la gaieté des uns et des autres.
Qu'en penses-tu ?
Je t'aime.
Tanette
Je caresse l'idée de résider ici une certain temps, à une date indéterminée
avec ta tribu et la mienne et je me plais à imaginer la gaieté des uns et des autres.
Qu'en penses-tu ?
Je t'aime.
Tanette