Vous pouvez, bien évidemment, publier toute histoire autour... de ce qu'évoque le mot "lapin" .
Les légendes à propos des œufs de Pâques sont nombreuses, qui les
apporte ? poule, lapin, cloches ?
Suivant la légende ou suivant sa propre éducation toutes les interprétations
sont permises.
Pour ma part, quand j’étais petite (il y a longtemps…) je n’ai
pas connu les œufs en chocolat cachés dans le jardin…du coup, je ne les ai pas fait connaître à mes enfants….
Depuis, le commerce en a fait « ses choux gras » et les
représentations chocolatées fleurissent un peu partout.
Pour répondre à Lakévio, j’ai cherché, j’ai bien aimé
la légende allemande dans laquelle une femme pauvre, ne pouvant offrir
de douceurs à ses enfants, décora des œufs qu’elle cacha dans le jardin. Les
enfants apercevant un lapin, crurent que celui-ci avait pondu des œufs.
Les œufs symbole de la Vie, le lapin symbole de la fertilité, les deux vont
bien ensemble…
La petite frimousse du lapin de l’illustration ci-dessus, me
plaît bien.
Gamine, je l’aurais sûrement choisi pour honorer le renouveau qu’il
représente avec les œufs
afin de célébrer cette fête.
afin de célébrer cette fête.
. Ce souvenir-là m'aurait été plus doux que celui que je
garde depuis mon enfance à propos de lapin.
C’était le passage de celui que l’on appelait le
« peillarot » (qui me terrorisait).
Il soufflait dans une trompette en passant dans les rues et criait : « peillarot, pel de lapi » pour récupérer les peaux de lapin que les gens avaient gardées en vue de son passage.
(des peaux qu’il payait à peine.... un pet de lapin…)
Pourtant, les gamins, à qui les parents laissaient cette maigre obole pour les remercier d’aider à l’élevage se pressaient sur son passage, ...dès qu’ils avaient reçu quelques pièces,
ils détalaient ....comme des lapins pour acheter les friandises dont ils avaient tant envie…
avant de retourner…dans leurs ....cages à lapins ….
Il soufflait dans une trompette en passant dans les rues et criait : « peillarot, pel de lapi » pour récupérer les peaux de lapin que les gens avaient gardées en vue de son passage.
(des peaux qu’il payait à peine.... un pet de lapin…)
Pourtant, les gamins, à qui les parents laissaient cette maigre obole pour les remercier d’aider à l’élevage se pressaient sur son passage, ...dès qu’ils avaient reçu quelques pièces,
ils détalaient ....comme des lapins pour acheter les friandises dont ils avaient tant envie…
avant de retourner…dans leurs ....cages à lapins ….
et j'ai appris d'où viennent les lapins
RépondreSupprimerau moins les lapins en chocolat
..certain que je préfère l'histoire de la dame pauvre qui cachait des œufs dans le jardi à celle de ..peillarot qui recueillait les peaux de lapins..;)
RépondreSupprimerbise
ly xx
bonjour chere Tanette, belle histoire que celle des gens pauvres, qui decoraient eux memes les oeufs pour les enfants, exercice plutot reservé à ceux qui possedaient un jardin ou un champ pour cacher les oeufs, j'ai bien connu ce personnage que l'on nommait "peillerot" chez nous ! bon lundi de Pâques, grosses bises
RépondreSupprimerChez nous on décore toujours les oeufs et le lapin les dépose
RépondreSupprimerdans de petits nids fabriqué par les enfants au jardin où à l'intérieur !
bisous et bonne journée
Joli histoire que je ne connaissais pas.
RépondreSupprimerJ'ai au moins connu les peaux de lapin que grand-père gardait pour les vendre au marchand dont je ne connaissais pas le nom. j'ai même vu comment il faisait pour retourner la peau ! beurk !
RépondreSupprimerj'aime les légendes et cette légende allemande est bien jolie.
Merci Tanette.
Encore en "roulotte" ?...
Ton histoire d'aujourd'hui, magnifique, m'a fait revenir ... 60 ans en arrière (une paille ..).Bien jolie l'histoire de cette dame pauvre. Quant à ton peillarot (chez nous, en catalan, on dit pallarot ! il me terrorisait aussi ! Mes parents disaient que quelques fois ils emmenaient les enfants pas sages. Alors ... on filait doux !
RépondreSupprimerAllez, bisous et bon lundi de Pâques
lapin lapin entre et viens, me serrer la main!
RépondreSupprimerL'enfance n'est pas toujours toute douceur, j'aime beaucoup ta note.
RépondreSupprimerAh oui moi aussi j'ai connu le bonhomme qui passait en criant "peaux de lapin"... comme dit Heure Bleue, l'enfance devrait mais n'est pas toujours douceur...
RépondreSupprimerBisous à vous deux, rentrés je suppose.
Merci Tanette, je ne connaissais pas cette légende allemande. J'aime bien lire tes souvenirs... Bon lundi de Pâques ! Bises
RépondreSupprimer...c'est à notre tour d'avoir de la pluie auj. après le beau 20 degré d'hier...jeu de saison...;)
RépondreSupprimerbonne journée
ly xx
Merci pour la légende, je ne la connaissais pas. Belle évocation du peillarot (chez nous les peilhes sont les chiffons ou les vêtements en lambeaux)
RépondreSupprimerTu me renvoies dans mon passé avec deux souvenirs: le premier est celui de la peinture sur œufs que je peignais avant Pâques. Bon, ce n'était pas des chef-d'oeuvre mais l'objet de l'occupation d'un après midi !
RépondreSupprimerLe second est moins commun ; mes grand-parents avaient des lapins pour la vente.(En ce temps-là, les gens mangeaient encore du lapin.) Pendant les vacances, nous allions, ma cousine et moi avec eux pour vendre les peaux de lapin à la ville (les manteaux de fourrure étaient en vogue !) et avec l'argent, ils nous emmenaient au restaurant. Quel souvenir !